Est-ce que c'est une rumeur? En tout cas, une oreille bien informée m'a assurée ce soir que dans quelques jours un nouveau quotidien apparaitrait sur les tablettes pour faire concurrence au Journal de Q. (dont les pauvres journalistes sont toujours en lock-out, faut-il le préciser!) et au Soleil...
Son nom? Capitale Nationale et il adopterait le même format que la Presse, format que le Soleil a délaissé depuis quelques temps pour passer au format tabloïd... J'en connais qui vont être content!
Et même que leur premier front devrait s'intituler "C'est la guerre" ou "La guerre est déclarée", façon assez directe d'affirmer l'intention de ce nouveau journal de se tailler une place dans la presse écrite de la capitale.
Disons-le, le moment est tout à fait bien choisi pour cette apparition, avec le Journal de Q. qui n'est plus que l'ombre de lui-même et le Soleil qui semble se chercher une personnalité depuis le changement de format...
Dites, avez-vous besoin de journalistes en passant? :)
Tuliperies
Tributations de Tulipe en quête de quelque chose dans les rues de Qc city.
5.1.08
3.11.07
D'un homme à la tête de citrouille et autres péripéties
Je commence à soupçonner qu'il faut que j'aille à Montréal pour que finalement quelque chose arrive... N'importe quoi...
Et c'est bien ce qui s'est produit hier soir, n'importe quoi et j'en rapporte aujourd'hui un gros hangover
Mon ami JP m'accueille comme une reine avec un appart à moi toute seule, vue sur Mont-Royal et tout le tralala. Après avoir chillé quelques heures à boire du rhum et de la bière, on se bouge finalement le cul avec notre ami Seb, direction Plan B. C'est plein à craquer, on a peine à respirer. Semblerait-il que c'est comme le Sac à Québec : central, achalandé, bref la place où sortir un vendredi soir sur le plateau. Jusqu'à James Hyndman qui est flanqué là avec sa grandeur qui ne finit plus de finir... mais comme je ne suis pas trop groupie dans l'âme, passons...
On réussit à se coincer autour du petit bar et les gars me font de l'attitude de l'autre côté pendant que je m'accroche à mon tabouret. On s'envoie un shooter de rhum derrière la cravate et je me commande un mojito, histoire de me rafraîchir. Après 1 heure, on en a eu assez de ce régime et on a presque envie d'aller se fumer un petit pétard de fin de soirée, mais on décide d'arrêter au Billy Kun, je veux faire goûter JP à ce shooter tchékoslovaque aux accents de cannelle qu'on boit avec une tranche d'orange... miam!
Finalement, on s'assoit au petit bar en face de deux gars qui se révèle pour le moins sympathiques, des ontariens installés à mtl depuis quelques années et qui parlent assez bien français (disons qu'en fin de soirée, l'alcool aidant, je ne comprenais plus grand chose !)... L'un des deux est cute, JP lui fait de l'oeil comme il sait si bien le faire et ils deviennent nos amis en moins de deux. Pendant que Jp me cache la craque en riant, on décide de se prendre un drink, et pourquoi pas, une autre tournée de shooters... ça commence à faire de l'alcool dans mon sang et j'aime ça, d'autant plus que j'ai un torticoli que j'essaie d'engourdir...
Ils veulent mouver vers un autre bar, pourquoi pas? On perd Seb en cours de route et on prend un taxi jusqu'au Baldwin barmacy où il y a fouleeeee de monde plein de gens très hype... les gars commandent une bouteille de champagne eurk ça me lève le coeur mais j,en boit quand même. Je commence à être youpilou é é mais la musique est bonne est finalement notre table se retrouve sur lebord d'une piste de danse improvisée, on danse sur du Jackson - is not my love... tell i am the one but the kid is not my own - moi et JP on se shake le bonbon comme il faut ya ouuuuuuuuuu
Bon les lumières allument, on décide de terminer ça dans mon appart prêté, à fumer un joint. Le gars cute reluque le pot en porcelaine sur la table qui ressemble étrangement à une citrouille et il se la met sur la tête tout en essayant de me raconter que son père cultive ce légume - ou fruit? - d'halloween et qu'il est comme le top de la citrouille en ontario, ou je sais pas quoi, ...
JP s'endort sur mon lit pendant que je me demande comment tout cela va finir... Le cute veut danser avec moi puis je me retrouve je sais pas trop comment dans lasalle de bain à frencher à qui mieux mieux, jusqu'à ce que je retrouve mes esprits woooooooooo ça suffit je les mets dehors et je vais me coucher avec JP...
Et ce matin, cet après midi, j'ai été malade comme pas une. Ostie de champagne...
Et ce soir... On the road again!
Et c'est bien ce qui s'est produit hier soir, n'importe quoi et j'en rapporte aujourd'hui un gros hangover
Mon ami JP m'accueille comme une reine avec un appart à moi toute seule, vue sur Mont-Royal et tout le tralala. Après avoir chillé quelques heures à boire du rhum et de la bière, on se bouge finalement le cul avec notre ami Seb, direction Plan B. C'est plein à craquer, on a peine à respirer. Semblerait-il que c'est comme le Sac à Québec : central, achalandé, bref la place où sortir un vendredi soir sur le plateau. Jusqu'à James Hyndman qui est flanqué là avec sa grandeur qui ne finit plus de finir... mais comme je ne suis pas trop groupie dans l'âme, passons...
On réussit à se coincer autour du petit bar et les gars me font de l'attitude de l'autre côté pendant que je m'accroche à mon tabouret. On s'envoie un shooter de rhum derrière la cravate et je me commande un mojito, histoire de me rafraîchir. Après 1 heure, on en a eu assez de ce régime et on a presque envie d'aller se fumer un petit pétard de fin de soirée, mais on décide d'arrêter au Billy Kun, je veux faire goûter JP à ce shooter tchékoslovaque aux accents de cannelle qu'on boit avec une tranche d'orange... miam!
Finalement, on s'assoit au petit bar en face de deux gars qui se révèle pour le moins sympathiques, des ontariens installés à mtl depuis quelques années et qui parlent assez bien français (disons qu'en fin de soirée, l'alcool aidant, je ne comprenais plus grand chose !)... L'un des deux est cute, JP lui fait de l'oeil comme il sait si bien le faire et ils deviennent nos amis en moins de deux. Pendant que Jp me cache la craque en riant, on décide de se prendre un drink, et pourquoi pas, une autre tournée de shooters... ça commence à faire de l'alcool dans mon sang et j'aime ça, d'autant plus que j'ai un torticoli que j'essaie d'engourdir...
Ils veulent mouver vers un autre bar, pourquoi pas? On perd Seb en cours de route et on prend un taxi jusqu'au Baldwin barmacy où il y a fouleeeee de monde plein de gens très hype... les gars commandent une bouteille de champagne eurk ça me lève le coeur mais j,en boit quand même. Je commence à être youpilou é é mais la musique est bonne est finalement notre table se retrouve sur lebord d'une piste de danse improvisée, on danse sur du Jackson - is not my love... tell i am the one but the kid is not my own - moi et JP on se shake le bonbon comme il faut ya ouuuuuuuuuu
Bon les lumières allument, on décide de terminer ça dans mon appart prêté, à fumer un joint. Le gars cute reluque le pot en porcelaine sur la table qui ressemble étrangement à une citrouille et il se la met sur la tête tout en essayant de me raconter que son père cultive ce légume - ou fruit? - d'halloween et qu'il est comme le top de la citrouille en ontario, ou je sais pas quoi, ...
JP s'endort sur mon lit pendant que je me demande comment tout cela va finir... Le cute veut danser avec moi puis je me retrouve je sais pas trop comment dans lasalle de bain à frencher à qui mieux mieux, jusqu'à ce que je retrouve mes esprits woooooooooo ça suffit je les mets dehors et je vais me coucher avec JP...
Et ce matin, cet après midi, j'ai été malade comme pas une. Ostie de champagne...
Et ce soir... On the road again!
29.10.07
Ya comme quekchose qui se passe
Je n'écris plus, ya rien à faire avec moi. Les mots s'évaporent dès que j'y touche, je vis dans un gros no sens land. Je crois que ce blogue courre à sa perte, mais laissons le exister encore un peu, juste pour voir s'il survit sans oxygène, ou presque.
Et pendant ce temps, je navigue sur facefuck comme à la recherche d'un signe. Ce criss de signe là, faudrait ben que je lui fasse la peau.
ahah
Et pendant ce temps, je navigue sur facefuck comme à la recherche d'un signe. Ce criss de signe là, faudrait ben que je lui fasse la peau.
ahah
27.9.07
Brand brain
But, you see, something’s missing
I don’t care if you don’t want to marry me
Or make babies tomorrow
I don’t want to attach a man to my bed
I just want to rip your body over mine*
With something more
That thing in your eyes that you don’t have
And when you touch me
Those eyes that you flip down.
Where were you?
Somewhere else
In you brand brain
Ruminating something
That’s slipping away so fast
And when tomorrow is happening
You shut down your eyes again
And speak about things and others
Just before you go away
Kissed me on the cheek
*Amy Winehouse
2.9.07
Brouillard
Commencer. Commencer par écrire. Écrire quoi? J'en sais foutrement rien.
Que le brouillard m'enserre le coeur, que la vitesse me prend de court, que la lenteur coule dans mes veines, que l'automne me fait peur, que la peur me tenaille l'intérieur, que l'histoire est toujours à réécrire et que, pourtant, c'est toujours la même qui n'en finit plus de se dérouler sous mes yeux.
Qu'insouciante j'essaie d'être mais que vitalement engagée je ne peux cesser de devenir. Que mon coeur cherche la froideur alors qu'il ne cesse de brûler dès qu'on le touche. Que je suis de fer jusqu'à ce qu'on me souffle dessus et que je fonde de convoitise. Que mon enrobage glacé me leurre encore bien souvent sur moi-même, comme si j'avais réussi à me convaincre que plus rien ne me fait rien. Que meurent les hommes et tombent les mouches, que l'amour pleure et que la haine fleurisse, je n'ai rien à y changer, ni à y comprendre, sauf pour ce petit bout d'identité qui m'appartient. Mais m'appartiens-je?
Parfois, j'en doute.
Que le brouillard m'enserre le coeur, que la vitesse me prend de court, que la lenteur coule dans mes veines, que l'automne me fait peur, que la peur me tenaille l'intérieur, que l'histoire est toujours à réécrire et que, pourtant, c'est toujours la même qui n'en finit plus de se dérouler sous mes yeux.
Qu'insouciante j'essaie d'être mais que vitalement engagée je ne peux cesser de devenir. Que mon coeur cherche la froideur alors qu'il ne cesse de brûler dès qu'on le touche. Que je suis de fer jusqu'à ce qu'on me souffle dessus et que je fonde de convoitise. Que mon enrobage glacé me leurre encore bien souvent sur moi-même, comme si j'avais réussi à me convaincre que plus rien ne me fait rien. Que meurent les hommes et tombent les mouches, que l'amour pleure et que la haine fleurisse, je n'ai rien à y changer, ni à y comprendre, sauf pour ce petit bout d'identité qui m'appartient. Mais m'appartiens-je?
Parfois, j'en doute.
27.8.07
Visite à Kamouraska
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