Tributations de Tulipe en quête de quelque chose dans les rues de Qc city.

10.7.07

Le festival d'été est fait pour rendre fou

J'avoue, c'est la première fois que je vis le festival d'été à Québec de l'extérieur. Je veux dire de l'extérieur de ma peau de barmaid qui ne voit aucun show et passe presque 10 jours d'affilée à travailler. Que je profite du moment, de la désinvolture, de l'occasion, de la musique, des centaines de gens (et de garçons, il faut bien le dire) qui défilent devant mes yeux et mes oreilles.
La quantité d'alcool que j'ai ingérée, et les heures tardives auxquelles je me suis couchée (comme ce soir, je suis rentrée "sagement" vers 1h45) sont en quantités exponentielles par rapport à mon quotidien des derniers mois.

Bon, je sais, c'est le célibat, mais quand même. C'est aussi l'happening incroyable qu'est le festival d'été. Le nombre de gens que tu peux côtoyer si tu es à l'affût et intéressé.

Et la grande rencontre des musiques de partout. Ce que j'aime du festival, ce sont les musiciens débarqués de nulle part, les sonorités qui rappelent l'Est, la terre première. C'est le Carré en plein soleil et le Pigeonier au crépuscule. C'est aussi le free jazz comme hier à Cinematic Orchestra et l'électro trash à l'Impérial comme We are Wolves. Fuck les Plaines! À seulement fréquenter si immense envie de danser dans la foule sur un band qu'on aime.

Demain, rien d'excitant, c'est-à-dire que je connais, au festival. Semble-t-il que Los Lobos vers 21h30 au carré c'est intéressant, et juste avant Harry Manx, qui a une sorte de guitare indienne vraiment space (je l'ai entendu une fois à Christiane Charette). Peut-être au OFF? à voir.

Dodo

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